Les étoiles dans le caniveau

Les étoiles dans le caniveau

Lorsque l'enfant parait ( I- Ou étions-nous?)

 

 

Paris, mai 2020

Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies,

Car vos petites mains, joyeuses et bénies,

N'ont point mal fait encor ;

Jamais vos jeunes pas n'ont touché notre fange,

Tête sacrée ! enfant aux cheveux blonds ! bel ange

À l'auréole d'or !

 

Vous êtes parmi nous la colombe de l'arche.

Vos pieds tendres et purs n'ont point l'âge où l'on marche.

Vos ailes sont d'azur.

Sans le comprendre encor vous regardez le monde.

Double virginité ! corps où rien n'est immonde,

Âme où rien n'est impur !

 

Victor HUGO (1802 – 1885) Lorsque l'enfant paraît

 

 

 

Le philosophe allemand Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1831) disait :

« Ce n’est qu’au début du crépuscule que la chouette de Minerve prend son envol ».

Minerve, dans la mythologie romaine, était la déesse de la sagesse et sa chouette symbolisait la philosophie.

Selon Hegel, cette philosophie ne pouvait se déployer sereinement, avec la réflexion qu’elle demande, qu’une fois le jour terminé, c’est-à-dire une fois achevée l’écriture de l’histoire.

« Incapable de s’exercer dans la simultanéité au monde, la philosophie serait ainsi condamnée au différé. » (1)

 

Alors, maintenant que la poussière médiatique soulevée par ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire Matzneff se dépose un peu, si l’on regardait de plus près ce que nous apprend ce fait-divers ?

Les errances d’un malade, les tressaillements dérisoires de ce que je crois être un pervers pathologique n’ont finalement que peu d’importance, à part bien sûr pour ses victimes et pour la justice.

Il est bien plus intéressant de se pencher sur ce que cet individu nous dit sur nous-même et sur notre société : Gabriel Matzneff n’est que le symptôme d’une société malade. Moribonde, même.

Dans un récent article sur le mouvement #MeToo (2), j’expliquais déjà d’où venaient nos « porcs ». Matzneff est simplement un autre de nos petits cochons…Son procès ne peut se faire sans le procès de la société qui l’a créé, nourri, encensé, célébré et surtout autorisé.

 

Et puisque l’enfant parait accompagné du pédophile, il me semble intéressant de revenir sur la raison essentielle qui a permis à ce prédateur de prospérer : l’atonie coupable et assourdissante de l’élite politico-intellectuelle.

 

Mais où donc étions-nous ?

 

Des individus comme Matzneff n’ont pu exister que grâce à la complicité bienveillante d’une certaine « intelligentsia ». Et, même si c’est difficile, il faut bien l’avouer : ces intellectuels se réclamaient pour la plupart de la gauche.

De cette gauche héritière des errances de 1968, qui s’est trompé toujours, sur tout….

De cette gauche dont nous venons, nous, pauvres rêveurs aux yeux clairs.

Et c’est parce que nous en venons qu’il faut bien crever l’abcès. Et régler les comptes

Oui, cette gauche a eu tort. Ses leaders ont eu tort, ses penseurs aussi

Idéologiquement, politiquement et moralement.

 

Les leaders de 1968

 

Arrêtons-nous d’abord sur les leaders de mai 68… Alain Geismar, Jacques Sauvageot ou Daniel Cohn-Bendit, pour ne prendre que quelques-uns des exemples les plus connus …. Etudiants issus de milieux bourgeois pour la plupart, ils étaient en 1968 étudiants en sciences sociales, en philosophie, ou à l’école des mines… Aucun ouvrier, aucun apprenti….aucun prolétaire.

Le célèbre mouvement du 22 mars 1968 avait été initié un an auparavant par des jeunes godelureaux aux hormones débordantes qui voulaient avoir accès aux dortoirs des filles. Il a ensuite grossi en amalgamant un peu de tout et beaucoup de n’importe quoi : militants anti-guerre du Vietnam, adeptes d’une sexualité « libre », critiques de l’autorité universitaire, activistes anti-impérialiste, antifranquistes, tous réunis dans les mises à sac de rectorats et de facultés, les bagarres, et les happenings….pour finir, révolte suprême, par vouloir interdire par la force une représentation de la pièce de théâtre l'Otage du « curé » Claudel ….en toute démocratie, bien sûr !

Des préoccupations bien éloignées de celles des ouvriers des années 60.

 

Ce n’étaient ni des théoriciens, ni des philosophes, encore moins des penseurs et ils se contentaient de messages simplistes.

Leur réflexion politique ? : "Sous les pavés, la plage", "L'imagination au pouvoir", "Cours camarade, le vieux monde est derrière toi", "Soyez réalistes, demandez l'impossible", "Je ne veux pas perdre ma vie à la gagner". Ou bien les fameux « Jouir sans entrave » et « Il est interdit d’interdire »

Des grands slogans creux. Et qui oubliaient que « il est interdit d’interdire » avait été créé par le très droitiste Jean Yanne pour se moquer du mouvement des étudiants.

« Il n’existe aucune vérité absolue » proclamaient-ils aussi, sans même se rendre compte de l’aspect auto contradictoire de cette phrase qui les emmenait tout droit dans cette impasse : si cette proposition est vraie, alors elle s’applique à elle-même et est donc fausse.

Un profond vide intellectuel, donc.

 

Les penseurs de 1968

 

La faillite politique

 

Passons maintenant aux« penseurs », aux théoriciens de mai 68.

Disons tout d’abord la vérité : Ce que l’on nous a vendu comme la « révolution anarcho-libertaire de 1968 » n’avait en fait rien de libertaire.

Il y eut des trotskistes, des marxistes, des léninistes, des maoïstes, des guévaristes, des castristes, des communistes…. Tous soutenant jusqu’à l’absurde des régimes indignes, économiquement ignares et totalitaires. Tous complices de l’erreur. Complices silencieux des chars soviétiques à Prague. Complices de millions de morts, de déportés, complices silencieux des enfermements d’opposants dans les camps de rééducation chinois, les goulags soviétiques, les geôles cubaines ou les prisons roumaines. Complices des famines liées aux gestions économiques désastreuses de dirigeants incapables. Complices des asiles psychiatriques et du mur de la honte.

 

Mais certainement aucune pensée libertaire. Et finalement très peu de pensée tout court … Voyons cela en détail :

Passons rapidement sur les Debord, Deleuze (3), Althusser, Derrida, Barthes  …. Tous ces noms inconnus de la plupart de nos contemporains.

Penseurs abscons, lus par très peu et compris par encore moins … Drogués, alcooliques, dépressifs ou suicidaires, la « French Theory » est d’abord une maladie : Debord et Deleuze mettront fin à leurs jours, Althusser assassinera son épouse et finira en asile psychiatrique. Quant à Derrida, sa « glose ésotérique » (4) et son absence d’humour fera dire plusieurs années plus tard au génial Clément Rosset : « Il est impossible de dérider Derrida »…

Et pour ceux qui trouveraient le terme de « glose ésotérique » exagéré, ou caricatural, je ne peux m’empêcher de soumettre à leur sagacité un extrait de la prose Deridienne.

Grand théoricien du concept de « déconstruction », voilà ce qu’il répondait quand on lui demandait de définir ce terme :

« Toute phrase du type «la déconstruction est X» ou «la déconstruction n’est pas X» manque a priori de pertinence, disons qu’elle est au moins fausse. Vous savez qu’un des enjeux principaux de ce qui s’appelle dans les textes «déconstruction», c’est précisément la délimitation de l’ontologique et d’abord de cet indicatif présent de la troisième personne: S est P. (…)

Ce que la déconstruction n’est pas? mais tout!

Qu’est-ce que la déconstruction? mais rien! ». (5)

Lumineux, non ?

 

N’oublions pas Jean-Paul Sartre, qui sera finalement le seul connu et reconnu du grand public : on oubliera pour cela qu’il fut pour le moins silencieusement complaisant pendant l’occupation, puis successivement ensuite soutien du régime d’URSS, de la Chine de Mao, de la révolution Cubaine et de Fidel Castro, c’est-à-dire de toutes les dictatures communistes sanguinaires aux millions de morts.

Ce qui n’était probablement pas suffisant, puisqu’il appela ensuite au meurtre de français pendant la guerre d’Algérie (« en ce premier temps de la révolte, il faut tuer: abattre un Européen  c’est  faire  d’une  pierre  deux  coups,  supprimer  en  même  temps  un oppresseur et un opprimé »), puis enchaina par des soutiens à l’ayatollah Khomeiny , au terrorisme de Baader et de la Fraction Armée Rouge sans oublier enfin d’applaudir (avec Edwy Plenel) au massacre des sportifs israéliens par les terroristes palestiniens de Septembre Noir pendant les jeux Olympique de Munich le 5 septembre 1972.

On oubliera aussi qu’il écrivit une partie de son œuvre drogué à la mescaline et « poursuivi par des crabes (6) (7)».

 

Roland Barthes, au moins aussi aveugle que Sartre, reviendra lui enthousiaste d’un voyage en Chine effectué juste pendant les purges sanglantes de Mao en 1974 (comme Aragon qui avait trouvé Staline « génial » en 1953).

 

 

Les autres maoïstes révolutionnaires de l’époque eurent pour leur part des destinées variées suivies par une vieillesse difficile : Finkielkraut cheminera vers la droite, Glucksmann appellera à voter Sarkozy en 2007, Cohn Bendit deviendra un Macroniste convaincu et Bernard Henri Lévy ira user ses chemises blanches sur des sofas moelleux en soupirant qu’il possède "…trop de maisons dans le monde", et en se désespérant qu’il lui faille donc en vendre quelques-unes.

 

Terminons par Alain Badiou qui, seul, persistera dans l’aveuglement doctrinaire en déclarant , réunissant tous les dictateurs qu’il admire en une seule phrase : « S’agissant de figures comme Robespierre, Saint-Just, Babeuf, Blanqui, Bakounine, Karl Marx, Engels, Lénine, Trotski, Staline, Mao Tsé-toung, Chou En-lai, Tito, Che Guevara et quelques autres, il est capital de ne rien céder au contexte de criminalisation et d’anecdotes ébouriffantes dans lesquelles depuis toujours la réaction tente de les enclore et de les annuler »

Des dizaines de millions de morts en raison de ces idéologies, une « anecdote ébouriffante » ?

 

Malgré cet aveuglement, Alain Badiou est encore régulièrement invité un peu partout pour disserter sur le monde et nous proposer encore, sans frémir, en janvier 2020, sur une grande radio française de « «ressusciter l’hypothèse communiste». (8)

 

La plupart de ces révolutionnaires se reconvertiront ensuite en enseignants docilement fonctionnarisés de grandes écoles et en amis, (voire collaborateurs actifs) du pouvoir socialiste dans les années 80, où ils tenteront de nous expliquer doctement comment réussir tout ce qu’ils avaient raté.

 

50 ans après seulement, que reste-t-il de leur pensée ailleurs que dans une certaine faculté de sciences sociales du nord de Paris ??

 

Ces militants ou ces penseurs, non libertaires, mais essentiellement bourgeois et communistes (à l’origine), ont mis à bas la morale et l’autorité, à un moment ou cette remise en cause était certainement nécessaire.

Mais leur erreur a été de laisser en face de cette destruction le trou béant de leur pensée embryonnaire. Nous payons encore aujourd’hui ce relativisme du « Tout se vaut » ou du « Il n’y a ni maître, ni élève » avec un système éducatif soumis à l’agonie par les pédagogistes depuis 1968, et désormais incapable de remplir ses fonctions d’éducation et d’intégration Républicaine.

Il est d’ailleurs amusant de noter que ce sont ceux-là même qui ont détruit l’Education Nationale par leur théories mortifères qui, constatant l’échec de leurs politiques, s’érigent désormais en thuriféraires de méthodes d’éducation élitistes, privées et couteuses (Montessori ou autres).

Je parle ici de tous ces « socialistes », Vincent Peillon (Ministre de L’Education Nationale !!), ou bien Martine Aubry qui défendaient l’éducation publique avec des trémolos dans la voix mais s’empressaient d’inscrire leurs enfants dans la très chic et très privée Ecole Alsacienne de Paris. Et je n’oublie pas les « chanteurs engagés », (Jacques Higelin) qui, le poing levé et le verbe haut, firent de même.

 

Et tous ces anciens communistes, trotskystes ou maoïstes, loin de se cacher, honteux de leurs erreurs à répétition dans tous les domaines, continuent aujourd’hui d’écumer les médias. Ils s’appellent Daniel Cohn-Bendit, Julien Dray, Romain Goupil, Edwy Plenel, ou Bernard Kouchner …

Oui, tous ces gens se sont trompés et nous ont trompés. Et ils continuent.

Retournons vite plutôt lire Epicure et Marc Aurèle

 

L’échec de la morale

 

Faillite idéologique et politique, donc… Mais aussi faillite morale.

 

On aurait dû s’en douter : Avant de faire les yeux doux à un pédophile avéré, tous ces penseurs avaient déjà, pour la plupart, admiré la « philosophie » d’un marquis de Sade, aristocrate déviant qui prenait plaisir à violer et à torturer au couteau des femmes, de préférence jeunes et pauvres.

Philippe Sollers (ex maoïste.. !), l’éditeur de Matzneff aux Editions Gallimard est aussi un grand admirateur et défenseur de Sade, et ce n’est pas un hasard.

 

Ils avaient aussi, en 1977 dans le journal Le Monde, publié une pétition de soutien à trois hommes accusés d’actes pédophiles sur des mineurs de…12 à 15 ans et signée par tous : Louis Aragon, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Jean-Louis Bory, François Chatelet, Patrice Chéreau, Gilles Deleuze, André Glucksmann, Félix Guattari, Guy Hocquenghem, Jack Lang, Catherine Millet, Jean-Paul Sartre, Bernard Kouchner… Et nombre de médecins, psychologues et psychiatres qui y perdirent ici leur âme.

 

Sans oublier, bien évidemment, Gabriel Matzneff lui-même, à l’origine, dit-on de cette pétition

Michel Foucault et Marguerite Duras, et c’est tout à leur honneur, refuseront, eux, de signer ce texte.

 

Et tout cela au nom de cette « liberté frénétique », pour employer les mots de Camus (9), forcément jubilatoire puisqu’elle choquait le bourgeois.

 

Jouir sans entrave, pour ces apprentis libertaires de 68, c’était jouir sans morale. C’était confondre la noble doctrine d’Epicure, cette quête simple de la tranquillité de l’âme (l’ataraxie) avec un « épicurisme » de comptoir transformé en morale de pourceaux…

C’était oublier volontairement que l’anarchie dont ils pensaient se réclamer, c’est au contraire « la plus haute expression de l’ordre », comme le disait Elisée Reclus et qu’il existe bien une morale anarchiste. Oui, une morale, même si ces pseudo révolutionnaires ont voulu nous faire croire que c’était un gros mot.

 

Une morale libertaire. Une morale sans dieu, qui veut croire en l’homme. A l’exact opposé du « Si dieu n’existe pas, alors tout est permis » de Dostoïevski. Parce que c’est justement parce que dieu n’existe pas que l’on doit en demander encore plus à l’homme. Cette morale, utopique, est complexe, exigeante et théorisée par Kropotkine ou Guyau (10,11).

Elle dit : « Traite les autres comme tu aimerais à être traité par eux dans des circonstances analogues » ou bien « Imagine-toi à sa place, est-ce que tu aurais souffert d’être traité par lui comme tu viens de le traiter ? ». Et elle ajoute : « l’Egalité est le principe fondamental de l’Anarchie…et c’est au nom de l’Egalité que nous ne voulons plus ni prostituées, ni exploités, ni trompés, ni gouvernés. »

 

Cette pensée libertaire également construite par Albert Camus, mort hélas en 1960 bien avant ce naufrage. Celui qui, avant 68, déclarait : « Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande : elle consiste à empêcher que le monde se défasse », et qui, face aux délires sartriens, disait qu’il était « las d’être critiqué par des gens qui n’ont jamais mis que leur fauteuil dans le sens de l’histoire ».

 

Cette morale libertaire, respectueuse de l’autre, est à l’exact opposé du « libertinisme » répugnant professé par ces penseurs mous. Non, sodomiser des mineurs n’a jamais été un projet libertaire. Et quand Daniel Cohn-Bendit dit se faire « chatouiller la braguette » par des enfants de 5 ans, (12) c’est un délinquant qui parle. Ou un crétin.

Mais certainement pas un libertaire, ce qu’il ne fut jamais.

 

En guise d’épilogue…

 

Nietzsche pensait que l’homme, pour s’accomplir, devait passer par trois étapes au cours de son développement, qu’il nomme « les trois métamorphoses de l’esprit » (13): « Je vais vous dire trois métamorphoses de l’esprit : comment l’esprit devient chameau, comment le chameau devient lion, et comment enfin le lion devient enfant. »

 

L’homme au départ est chameau, bête de somme soumise : « sa vigueur réclame le fardeau pesant, le plus pesant », « L’esprit robuste charge sur lui tous ces fardeaux pesants : tel le chameau qui sitôt chargé se hâte vers le désert, ainsi lui se hâte vers son désert. »

 

« Mais au fond du désert le plus solitaire s’accomplit la seconde métamorphose : ici l’esprit devient lion, il veut conquérir la liberté et être maître de son propre désert ».

Le lion se rebelle et combat : « Il cherche ici son dernier maître : il veut être l’ennemi de ce maître, comme il est l’ennemi de son dernier dieu ; il veut lutter pour la victoire ». Il veut « Conquérir le droit de créer des valeurs nouvelles »

C’était bien le rêve d’un certain Mai…

 

La dernière métamorphose devra voir l’homme devenir enfant. « Pourquoi faut-il que le lion ravisseur devienne enfant ? L’enfant est innocence et oubli, un renouveau et un jeu, une roue qui roule sur elle-même, un premier mouvement, une sainte affirmation »

 

Nous ne serons plus jamais chameau…Nos lions de 68 gisent, pelés, dans la poussière.

Il serait temps qu’enfin l’enfant paraisse....

 

 

 

 

BIBLIOGRAPHIE

 

  1. Citations philosophiques expliquées : 100 citations pour découvrir l'histoire de la philosophie et se familiariser avec les différents thèmes - Florence Perrin, Alexis Rosenbaum
  2. https://les-etoiles-dans-le-caniveau.blog4ever.com/l-obeissance-au-porc
  3. https://blogs.mediapart.fr/yvon-quiniou/blog/160117/deleuze-ou-la-derive-litteraire-de-la-philosophie
  4. Clément Rosset : La joie est plus profonde que la tristesse (Les Esssais – Stock)
  5. Jacques Derrida : Lettre à un ami japonais Le Promeneur, XLII, mi-octobre 1985
  6. https://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20091125.BIB4479/quand-sartre-voyait-des-homards-partout.html
  7. https://www.diplomatie.gouv.fr/IMG/pdf/0203-Winock-FR-5.pdf
  8. https://www.lefigaro.fr/vox/societe/alain-badiou-et-le-communisme-on-oublie-les-morts-et-on-recommence-20200129
  9. « la liberté frénétique que la révolte en réalité ne réclame pas » L’homme révolté – Albert Camus
  10. Pierre Kropotkine - La Morale anarchiste, Mille et une nuits
  11. Jean-Marie Guyau – Esquisse d’une morale sans obligation ni sanction - Editions Allia
  12. https://www.nouvelobs.com/politique/europeennes-2009/20090605.OBS9379/les-extraits-du-livre-de-daniel-cohn-bendit-qui-font-polemique.html
  13. Ainsi parlait Zarathoustra - Nietzsche

 



20/05/2020
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